Au Honduras, près de la moitié des personnes vit sous le seuil national de pauvreté.
Comme la petite Ana Maritzia, les enfants en sont souvent les première victimes : ils peuvent souffrir de la faim,
avoir des problèmes de santé, avoir dû arrêter l'école ou assumer des responsabilités trop grandes pour leur âge...

C'est pour aider ces enfants que les Soeurs de Marie ont construit les Villages de Tegucigalpa et d'Amarateca, au Honduras.

Sans cela, les enfants auraient dû abandonner l'école, faute d'argent pour payer les fournitures
et le transport scolaire ou par nécessité d'aider financièrement leurs parents.
Les garçons auraient pu tomber dans le trafic de drogue ou la criminalité, qui est massive au Honduras.
Les filles auraient pu subir une grossesse ou un mariage précoce.
Il leur aurait été très compliqué de poursuivre leur scolarité, car 47 % des enfants au Honduras quittent l'école après le primaire.

Mais grâce aux Villages des Soeurs de Marie, les enfants pauvres du Honduras sont entièrement et gratuitement pris en charge :
ils vont à l'école, ils mangent trois repas par jour, ils sont habillés soignés et logés en sécurité sur place
et ils reçoivent tout l'équipement nécessaire à leur scolarité (uniforme, chaussures, fournitures scolaires...).
 Surtout, ils apprennent un métier : couture, informatique, soudure, éléctricité, mécanique, cuisine...
Cette formation complète leur offre toutes les chances d'aller loin dans la vie et de trouver un bon emploi plus tard,
pour pouvoir échapper à la pauvreté et aider leurs proches.

Pour en savoir plus sur les Villages du Honduras :

TEGUCIGALPA